Dans bon nombre de pièces de Benjamin Galemiri que j'ai pu lire, coexistent la diatribe et le blasphème avec la lamentation mélancolique et une ironique "imploration du pardon . La langue espagnole le permet : l'espagnol ne se parle pas, il sert à gifler avec des mots. Idiome parfait pour insulter et déclarer des guerres, dixit Tirso de Molina.