- EAN13
- 9782226483379
- ISBN
- 978-2-226-48337-9
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 31/01/2024
- Collection
- A.M. HORS COLL (1)
- Nombre de pages
- 270
- Dimensions
- 19,9 x 12,9 x 2,2 cm
- Poids
- 298 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Autre version disponible
" Un livre à la fois intellectuellement stiumant et poigant [...]." La Vie
" Un essai magistral qui mêle interrogations philosophiques et interrogations sociétales." Psychologies
« Les larmes ne sont pas le seul langage de la perte, du désespoir et du chagrin. Elles sont courageuses, audacieuses car elles nous indiquent que quelque chose doit être changé à quoi il faut consentir. En ce sens elles sont un chemin de liberté bien davantage qu'une voie de résignation. »
En interrogeant la signification existentielle des larmes, Guillaume Le Blanc ouvre un champ inédit. Des pleurs solitaires - larmes d'Achille ou de Priam, d'Énée ou d'Antigone, de la sainte Thérèse du Bernin, du marin d'Odessa dans Le Cuirassé Potemkine... - aux larmes solidaires - celles des « folles de la place de Mai », de Greta Thunberg ou du 11 septembre 2001 - il esquisse une métaphysique des larmes à rebours de la fragilité qu'on leur attribue. Non seulement les larmes nous rendent pleinement humains, mais lorsque celles-ci, solitaires, deviennent solidaires, elles apparaissent comme une force politique. En osant pleurer, on ne fait pas que déplorer, on accuse, on réclame justice : un peuple en larmes est un peuple en armes.
" Un essai stimulant." La Croix Hebdo
" Un essai magistral qui mêle interrogations philosophiques et interrogations sociétales." Psychologies
« Les larmes ne sont pas le seul langage de la perte, du désespoir et du chagrin. Elles sont courageuses, audacieuses car elles nous indiquent que quelque chose doit être changé à quoi il faut consentir. En ce sens elles sont un chemin de liberté bien davantage qu'une voie de résignation. »
En interrogeant la signification existentielle des larmes, Guillaume Le Blanc ouvre un champ inédit. Des pleurs solitaires - larmes d'Achille ou de Priam, d'Énée ou d'Antigone, de la sainte Thérèse du Bernin, du marin d'Odessa dans Le Cuirassé Potemkine... - aux larmes solidaires - celles des « folles de la place de Mai », de Greta Thunberg ou du 11 septembre 2001 - il esquisse une métaphysique des larmes à rebours de la fragilité qu'on leur attribue. Non seulement les larmes nous rendent pleinement humains, mais lorsque celles-ci, solitaires, deviennent solidaires, elles apparaissent comme une force politique. En osant pleurer, on ne fait pas que déplorer, on accuse, on réclame justice : un peuple en larmes est un peuple en armes.
" Un essai stimulant." La Croix Hebdo
Autres contributions de...
Psychanalyse et subversion des normes
Guillaume Le Blanc
21,00
La Solidarité des éprouvés, Une histoire politique de la pauvreté
Guillaume Le Blanc, Guillaume Le Blanc
21,00
La Solidarité des éprouvés, Une histoire politique de la pauvreté
Guillaume Le Blanc, Guillaume Le Blanc
21,00
Le pouvoir d'être affecté, Souffrances, résistances et émancipation
Federico Tarragoni, Patrick Cingolani, GUILLAUME LE BLANC, Octave Debary, Laurie Laufer
35,00
Le peuple des femmes, Un tour du monde féministe
Fabienne Brugère, GUILLAUME LE BLANC
21,00
Commentaires des lecteurs
Parce qu'apprendre à pleurer, c'est apprendre à vivre. La puissance des larmes.
Que faire de nos larmes ? Et de celles des autres, qui nous bouleversent ou nous embarrassent ? Abattu par le deuil, le philosophe plonge dans un tunnel de larmes, qui le pousse à donner sens à cette manifestation d'émotions ...
Lire la suite