- EAN13
- 9782753546240
- Éditeur
- Presses universitaires de Rennes
- Date de publication
- 18/07/2016
- Collection
- Interférences
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Conan Doyle
De Sherlock Holmes au professeur Challenger
Hélène Machinal
Presses universitaires de Rennes
Interférences
Autre version disponible
Tout le monde connaît Sherlock Holmes, mais son créateur est moins connu et le
restant de son œuvre quasiment méconnu. Pourquoi un tel écart entre ce
personnage de détective, qui est devenu un mythe littéraire, et le reste de
l’œuvre de Conan Doyle ? En réinscrivant le cycle holmesien dans un parcours
littéraire et spirituel, le présent ouvrage souhaite replacer sur le devant de
la scène des textes fascinants tels que « Le Trou du Blue John » ou « Le
Miroir d’argent », « Le Monde perdu » ou « L’Horreur des altitudes ». Tout au
long de sa carrière, Doyle présente la particularité d’avoir écrit des
nouvelles qui se rattachent aux trois genres auxquels la presse périodique de
l’époque ouvre ses colonnes : les récits policiers, fantastiques et de
science-fiction. Que cache une telle versatilité ? Y a-t-il cohérence ou
rupture entre ces différents modes narratifs ? Existe-t-il des passerelles, un
fil rouge qui traverserait l’écheveau de l’imaginaire doylien ? L’objet du
livre d’Hélène Machinal est de montrer les questionnements d’une plume en
tension perpétuelle entre un ancrage dans la rationalité et une dynamique de
découverte de l’inconnu.
restant de son œuvre quasiment méconnu. Pourquoi un tel écart entre ce
personnage de détective, qui est devenu un mythe littéraire, et le reste de
l’œuvre de Conan Doyle ? En réinscrivant le cycle holmesien dans un parcours
littéraire et spirituel, le présent ouvrage souhaite replacer sur le devant de
la scène des textes fascinants tels que « Le Trou du Blue John » ou « Le
Miroir d’argent », « Le Monde perdu » ou « L’Horreur des altitudes ». Tout au
long de sa carrière, Doyle présente la particularité d’avoir écrit des
nouvelles qui se rattachent aux trois genres auxquels la presse périodique de
l’époque ouvre ses colonnes : les récits policiers, fantastiques et de
science-fiction. Que cache une telle versatilité ? Y a-t-il cohérence ou
rupture entre ces différents modes narratifs ? Existe-t-il des passerelles, un
fil rouge qui traverserait l’écheveau de l’imaginaire doylien ? L’objet du
livre d’Hélène Machinal est de montrer les questionnements d’une plume en
tension perpétuelle entre un ancrage dans la rationalité et une dynamique de
découverte de l’inconnu.
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